• CreepyPasta:Confessions

     Konnichiwa a tous!^^

    vous aller bien?Mwa wai sa va.Bon...aujourd'hui je vous présente un Creepypasta!J'adore les Creepypasta donc je voulais juste vous en présenté un Creepypastaque j'ai bien aimer...il s’appelle:Confession.

    sur cela,je vous souhaite bonne lecture, j'espere que vous aller aprécier...

    policier: Bien. Si vous le voulez bien, commençons. Veuillez décliner votre identité ainsi que votre emploi.

    Prêtre: Je me nomme Sacha Alvarez, je suis le prêtre assigné à cette ville, depuis 10 ans.

    Policier: Très bien. Racontez-nous donc ce que vous avez à dire. Je vous rappelle que cette conversation est enregistrée.

    Prêtre:Fort bien. Sachez, mon enfant, que je suis tiraillé entre deux volontés : celle de garder secret ce que je sais, comme il est d'usage pour les confessions, et celle de tout vous raconter, car cela est très grave. Comme des vies sont en jeu, j'ai pris la décision de tout vous révéler. Le Seigneur saura me pardonner.

    Policier: C'est tout à votre honneur, mon Père.

    Prêtre: Bien. Commençons par le début. Il y a de ça une semaine, j'ai reçu en confession un certain Juan. Je n'avais alors pas idée de ce que j'allais entendre. Voyez-vous, ce Juan était un meurtrier. Il m'a fait part de tous ses méfaits, avec tous les détails. C'était atroce.

    Policier: Pouvez-vous nous donner ces détails ? C'est important pour l'enquête.

    Prêtre: Oui... J'imagine que oui. Comment pourrais-je oublier ces atrocités ? Cet homme... Ce Juan... Disait entendre des voix. Que son esprit était contrôlé par une entité maléfique. Cette entité lui donnait l'ordre de tuer certaines personnes, et d'une certaine manière. J'ai même cru voir pendant un instant ses yeux virer à un noir de jais... Mais je-

    Policier: Passons au vif du sujet, si vous le voulez bien.

    Prêtre: Oui, pardon. Le premier meurtre a été commis sur la personne de Franck D., le directeur de l'usine en centre-ville.

    Policier: Franck D... Le directeur qu'on a retrouvé étouffé chez lui il y a 6 semaines ?

    Prêtre: Oui, celui-là même. Juan m'a avoué l'avoir forcé à avaler des pièces de monnaie, jusqu’à ce qu'il n'en puisse plus. Une fin bien ironique pour un homme qui avait passé sa vie à entasser toujours plus d'argent, au détriment de ses employés.

    Policier: Nous savons maintenant pourquoi nous avons trouvé toutes ces pièces de monnaie dans son estomac... Max, peux-tu aller me chercher un crayon et du papier ? Mon Père, cela ne vous dérange pas que je prenne quelques notes ?

    Prêtre:Non, non, allez-y... Jack, si je me souviens bien ? Je peux vous appeler Jack ?

    Policier: Pas de problèmes, mon Père. Veuillez continuer.


    Prêtre:Bien. Son autre meurtre remonte à 5 semaines. Avez-vous eu vent de la mort du jeune Peter V. ?

    Policier: Le joueur de foot ? Oui, une bien triste nouvelle... Quelqu'un de si jeune. Nous avions dû intervenir chez son entraîneur deux jours avant sa mort, suite à une dispute entre les deux. Le jeune Peter n'avait pas apprécié d'être sur le banc cette saison et désirait la place de gardien. Il avait une belle carrière devant lui. Les détails de sa mort ne me reviennent pas, néanmoins...

    Prêtre: Je peux vous les rappeler. Une autre victime de Juan. Il lui a écrasé la tête avec ses propres chaussures de foot. Vous vouliez des détails, les voilà : il est venu à l’appartement de Peter, a attendu qu'il rentre, puis l'a assommé par derrière. Il l'a attaché, l'a rué de coups, avant de le finir à coups de crampons.

    Policier: Savez-vous comment il est entré chez la victime ?

    Prêtre: Malheureusement, non, mon Fils.

    Policier:Donc, nous avons Franck et Peter. Cela fait deux victimes... Laissez-moi noter cela et nous pouvons continuer.

    Prêtre: Faites donc.

    Policier: Voilà, je vous écoute.

    Prêtre:Sa troisième victime était une femme. Je ne sais pas son nom, c'était une prostituée qui avait l'habitude de "travailler" dans les bois de la ville. Il l'a droguée, puis amenée dans une usine désaffectée de la ville. Là, il l'a attachée, puis poignardée avec des crochets, avant de la suspendre par les seins. De là, il a assisté au spectacle, laissant la jeune femme agoniser et appeler au secours. Quand il en a eu assez, il l'a égorgée et l'a laissée là.

    Policier: Attendez, nous n'avons pas eu vent de ce meurtre. Savez-vous de quelle usine il s'agit ?

    Prêtre: Oui, de l'ancienne usine de conserves dans la partie nord de la ville.

    Policier: Max ! Envoie une patrouille fouiller toutes les usines du nord de la ville. Il y a sans doute un cadavre qui vous attend là-bas. Merci, mon Père... Votre aide est précieuse.

    Prêtre:Eh bien, je fais ce qui est juste. Mais ce n'est pas tout, écoutez-moi. Ce meurtre date d'il y a environ 3 semaines. Le victime est un ancien boxeur, "Mickaël au sang chaud", comme on le surnommait.

    Policier: Oui, je le connais, on avait l'habitude d'intervenir chez lui. Il battait sa femme, son fils, et ceux qui avaient le malheur d'intervenir. Une vraie brute qui démarrait au quart de tour, son surnom n’était pas usurpé. Je ne savais pas qu'il était mort.

    Prêtre: Oui, car il n'y pas eu d’enquête. La cause serait une crise cardiaque, alors qu'il revenait de sa salle de musculation. Mais ce que je peux vous dire, c'est qu'une nouvelle fois, Juan est passé par là. Savez-vous quel est l'effet de l'adrénaline ?

    Policier: Je ne m'y connais pas forcément, mais dans les séries que j'ai pu voir elle était utilisée pour réanimer quelqu'un dont le cœur s’était arrêté.

    Prêtre:Exactement, cela donne un "coup de boost" au cœur. Mais, en trop grande quantité, savez-vous ce qu'il se passe ?

    Policier: J'imagine que cela peut faire l'effet inverse... Ah, vous voulez dire que...

    Prêtre:Oui, ce n’était pas une simple crise cardiaque.

    Policier:Très bien, nous allons rouvrir l’enquête, je note ça dans un coin. Poursuivez, je vous prie.

    Prêtre: Je vais cette fois vous parler d'un total inconnu. Juan ne connaissait même pas son nom. Il s'agit d'un homme de 40 ans, sans emploi, célibataire, obèse, qui vivait encore chez ses parents. Une vraie loque, selon Juan. Il passait ses journées devant la télé ou son ordinateur. Juan l'a enlevé, le forçant à appeler ses parents pour les avertir qu'il allait passer une semaine chez des amis. Quand vous avez une arme sur la tempe, vous savez vous montrer convainquant. Comme il aimait si bien ne rien faire et se reposer, Juan l'a enfermé dans un container, sur les docks. Là où, je cite, "il ne pourra plus rien faire jusqu’à la fin de ses jours...".

    Policier: Attendez, sur les docks vous dites ? Cela fait combien de temps ?

    Prêtre: Environ 2 semaines, à ce qu'il m'a dit.

    Policier: Si personne ne l'a trouvé, il y a peu de chances qu'on le retrouve en vie. Max, envoyez une autre patrouille. Et, allez avec eux. Faites attention à ce que personne ne sache cela, éloignez les journalistes. Nous devons voir si aucune preuve n'a été laissée par ce tueur en série. Identifiez la victime, mais attendez un peu avant de prévenir les parents. Mon Père, avez-vous encore des choses à nous dire ?

    Prêtre: Oui, il reste un meurtre à raconter. Le dernier, la semaine dernière. Il s'agit cette fois d'un enfant. Le petit Kevin...

    Policier: N'en dites pas plus... J'ai moi même annoncé le décès à sa mère. Quel genre de monstre peut s'attaquer à un enfant de la sorte... Je le connaissais depuis sa naissance. Un grand amateur de sucreries ! Mais quel enfant ne l'est pas... Bon, dites le quand même pour l'enregistrement. C'est l'acte de Juan, n'est-ce pas ? .

    Prêtre:Oui. C'est peut-être dû au fait que ce soit un enfant, mais il a fait en sorte que ce soit rapide. Il l'a noyé, comme vous devez le savoir, dans un baril rempli de soda...

    Policier: Oui... Oui... Le pauvre...

    Prêtre: C'est tout ce que j'avais à dire.

    Policier: Mon Père, je ne sais comment vous remercier. Grâce à votre témoignage, nous avons assez de preuves pour que ce Juan passe sa vie derrière les barreaux.

    Prêtre: Comment l'avez-vous attrapé ?

    Policier: Il est venu se rendre... Il persiste à dire qu'il n'était pas lui même ces derniers mois. Mais cela ne change rien au fait que ces meurtres s’arrêtent enfin. Je vais pouvoir l'annoncer aux médias.

    Prêtre: Cela va sûrement vous faire valoir une promotion, toute la ville va vous encenser...

    Policier:Cela est normal, après tout je suis celui qui a arrêté ce tueur en série. Je vais sûrement avoir une promotion, pour mon état de service formidable. Quelle réussite !

    Prêtre: Eh bien, mon Fils, quelle fierté ! Le sentez-vous ? Ce sentiment... d'orgueil ? Exactement comme je l'avais prévu.

    Policier:Comme vous aviez prévu ? Je ne comp- Attendez, vous parlez d’orgueil... Mais oui... Tous ces meurtres... Ils sont liés ! Mais il en manque... Non... Ce n'est pas possible... Mon père... Vos yeux !


    La suite de l'enregistrement n'est faite que de cris. L'agent Jack M. a été retrouvé seul dans la pièce, un stylo planté dans l’œil. Avec son sang, le tueur a dessiné au-dessus de sa tête une couronne.
     Le prêtre, lui, n'a jamais été retrouvé.


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